La marque bénéficie d’une bonne image auprès des consommateurs… Tout sauf un miracle : ses produits sont bons car Charal entretient un lien profond avec le terroir et les éleveurs.

Rive sud de la Loire, à l’ouest de Nantes… Du côté de Rouans et des villages alentours, la géographie locale dessine un paysage doux et harmonieux. Nous voilà de plain-pied dans un pays d’élevage bovin, à la découverte de deux exploitations, le GAEC (Groupement Agricole d’Exploitation en Commun) de la Gaudinière et, à quelques kilomètres, le GAEC des Ruisseaux. Pour Charal, tout commence là, à hauteur de pâturages, au contact direct des terroirs, des éleveurs et des troupeaux. Sans cette proximité, impossible d’avoir une viande de qualité et donc de tisser ce lien de confiance avec le consommateur final.

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Pionnier d’une agriculture respectueuse

charal«Charal, une marque 100 % Viande Bovine Française »… Cette phrase dit beaucoup, mais pas encore assez ! Car, depuis longtemps, l’entreprise milite en faveur de pratiques plus vertueuses du pré à l’assiette, d’une agriculture plus durable et responsable. Dans cet esprit, Charal cultive depuis 2001 des partenariats avec une dizaine de milliers d’éleveurs en France. La majorité est engagée dans l’une des trois filières d’exception de la maison, « Bio», « Audit Qualité Charal » et « Herbo’ pacte® ». Le principe de base ? Les animaux bénéficient d’une nourriture saine et naturelle, principalement basée sur l’herbe. Composée de graminées comme la fléole des prés et de légumineuses comme le trèfle ou la luzerne, elle constitue pour eux un aliment extrêmement équilibré. L’accès au pâturage est en effet très encouragé dans la filière « Audit Qualité Charal » et, dès que les conditions le permettent, la règle en filières « Bio » et « Herbo’ pacte® ». À la Gaudinière comme à la ferme des Ruisseaux, il faut voir les bovins en pleine forme se régaler de cette herbe généreuse, ruminer tranquillement et trotter dans leurs vastes pâtures. Pas de doute, ceux-là profitent de conditions d’élevage extrêmement privilégiées. Les troupeaux ont donc la belle vie et pas question pour les fermiers de « faire le métier » autrement.

Charal à l’écoute des producteurs et des consommateurs

Un signe qui ne trompe pas de la pertinence de la démarche Charal : la fidélité réciproque et souvent ancienne entre l’entreprise et ses éleveurs partenaires. Conscient de son rôle central entre les producteurs et les consommateurs, Charal a su aussi bâtir une relation de confiance avec ces derniers. L’élevage de qualité sur des terroirs choisis ou le savoir-faire des bouchers de la « maison » permettent en effet au leader de la viande en France de présenter aux consommateurs des produits délicieux, à la traçabilité irréprochable. Ainsi, Charal incarne une réponse idéale à une tendance profonde de notre époque : la sensibilité d’un public de plus en plus large à une agriculture respectueuse des hommes, des animaux et de l’environnement.

Une marque toujours en mouvement

Profiter de sa bonne réputation, rester sur ses acquis ? Non, la marque continue de se réinventer. Démonstration encore avec la nouvelle gamme « Elevé au pâturage ». Elle résulte de la filière « Audit Qualité Charal », avec des produits exclusivement issus de bêtes ayant pâturé au moins six mois par an : présente dès octobre 2020, elle proposera du steak haché pur bœuf au rayon surgelés, et du bifteck, faux-filet et steak haché pur bœuf au rayon boucherie. Charal vit une passion pour la viande, et n’a pas fini de la partage

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Cet article est un publirédactionnel